Dans les ténèbres d'une nuit blanche de neige.

Le ciel est grand, il est haut, il est bleu et remplie de nuages colorée à l'horizon, des rayons transperces le tout comme une lance des plus fines, pour venir tacher le toit des maisons, commerces et autre construction.

Les gens parlaient avec une sorte de frénissie, semblaient à chaque mot rajouter un détail dans un évènement quelconque, qui les avaient sans doute marquer, à voir le peut de femme qui trainait dehors par cette fin de soirée.
Quelques rares enfants couraient d'un bout à l'autre d'une place en forme de triangle alors que des poules se souvaient en poussent de petits cris, les fenêtres étaient parfoit entre ouverte, malgrés la faible neige qui tombait doucement vers la terre, se perdent dans le paysage blanc du sol.

Une homme sortait d'une taverne, le nez rouge et l'air particulièrement près à tomber, tanguent sur lui même, dansent d'une jambe à l'autre pendant quelques secondes avant de finalement trouver un point d'appuie, pour ensuite laisser sa main glisser, pour s'affaler mollement à terre, ronflent comme si il se trouvait dans un endroit au chaud et douillet.

"Se s'rait pas Kola qui vien de sortir par hasard!"

Poussa quelqu'un avant d'éclat de rire, suivit par plusieurs autres personnes, tendit que les enfants se réunissaient autour de l'ivrogne pour voir si il y avait pas quelque chose à piller.
Bref, une fin de journée comme toutes les autres fin de journée, remplie de haut et de bas.

Au coin d'un mur, non loin de là, se trouvait un charmant jeune homme, l'air maladif mais bien accoutré, semblant mener une vie aiser, regardait la scène avait un discret sourire aux lèvres alors qu'il faisait un clind d'oeil à un enfant qui se tenait à côté de lui, le p'tit partie en courent, comme si il y avait eut le diable à ses trouses.

Ce n'est quand même pas tous les jours que sous l'ombre d'un capuchon, on voyait un oeil devenir d'un rouge sombre, un oeil qui pendant un instant, avait été gris.

À... les joies de la jeunesse, c'est se que Malko venait de gouter, de tuer avec amour et d'ennivrer de plaisir...

Son sourire s'élargie, mais il se perdit dans l'ombre d'un nuage, rendant invisible l'indentiter de la menace dont tout le monde parlait...
Vêtue d'une cape au dessu de sa tunique, son épée pendant sur l'une de ses manches, il ne s'inquiètait pas de l'enfant car avec l'ordeur qu'il lui avait coller, son système allait le tuer sans qu'il ne s'en aperçoive, même si, il allait être tordu de douleur pendant un bout de temps...

On est un Demon ou on l'est pas!

Summectent les lèvres, il ferma les yeux.

Le soir venait de plus en plus prendre possession de la Ville, le ciel était devenu mauve et rose, la neige, elle, ne faisait qu'agire en temps que mirroir.
Ses narines se dilataires légèrement, laissent les odeurs l'informers de se qui l'entourait, alors qu'une main s'était pausé sur le pommau de son épée, quoique d'une jeste qui resemblait plus à une habitude qu'a un réelle besoin de se sentir protègé.

Le vent s'était levée et la neige ressemblait à un ridaux de perle secoué.

Malko pencha sa tête en arrière, laissent sa gorge se faire caresser par la fraicheur du soir, à se moment précit, une garçon aurait put passer en avant de lui avec le visage en sang, il n'y aurait pas porté attention.
Il restait encore un peu de lumière dans le ciel, les commerces commençaient à fermer boutique, les enfants désertaient peu à peu la place, les hommes retournaient à la maison pour accomplir leurs devoir d'époux, mais les tavernes et les auberges restaient obstinément ouvertes.

Il semblait que même la nuit, les humains restaient actif, c'est se qui était interessent avec eut, d'ailleur, une maison close non loin de là confirmait ses sa constatation, le faisant sourire une foit de plus, mais cette foit, avec suffisence.

Ouvrent les yeux, qui avaient retrouver leurs couleurs grise, il dégagea une main de sous sa cape pour laisser les flocons venirs s'écrasser contre sa peau, puis fondre lentement.
La brillances que l'eau faisait naitre sur sa main, il l'avait toujours aimé, en enfer, il n'y avait pas de neige, ça l'avait bien fait grogner bien des fois, mais il s'y était fait, maintenant, il en profitait quand il pouvait.
Mais il devrait bientôt repartir en enfer pour faire son rapport à son Maître, qui lui, ferait passer le rapport dans les mains de son suppérieurs et ainsi de suite...

Soupirent, il laissa retomber sa main.

Il se décolla du mur, toujours capuchon sur la tête, mettent quelque chose dans sa bouche tout en marchent en direction, semblait-il, d'une auberge.
Le froid mordait se soir là, de la bué sortait des bouches, l'atmosphère était mystèrieuse et la neige s'amusait, selon la lumière, à changer de couleur.

Les pas de Malko étaient visible dans la neige, nulle doute qu'il ne se souciait pas d'être suivit.
À mesure qu'il avançait, ses narines se dilataient tranquillement, alors qu'il absorbait les odeurs de la vie nocturne.
De la peur à droite, de la détermination à gauche, et de l'indicision derrière.
Il sourit, avant d'ouvrire la porte de l'Auberge, riant doucement en voyent les têtes qui ne dormaient pas encore, se tourner vers lui, méfiantes.

Alors, marchent vers le comptoir d'un pas qui voulait pas mal dire« rien à foutre de vos commentaires » il enleva son capuchon.
Dévoilent un visage pâle, jolie, et un peu affiminé...
Mais masculin, s'était un drôle de mélange, ça répendait une drôle de sensation, et s'était plutôt amusent en même temps, attirant, peut être bien, même.
Arrivé devant la jeune fille qui, sans doute, travaillait de nuit, il lui fit un gentil sourire et demanda si il y avait encore une chambre de libre.
La réponse fut positive, et grasse à l'odeur joyeuse qu'il avait glisser dans l'air, il peu l'avoir à un tout petit prix.

Sourient une dernière foit, il dit aurevoir à la belle après qu'elle lui est montré la chambre, puis il la laissa partir, les yeux rêveurs.
Alors son sourir disparut doucement, il n'alluma pas de chandel, il n'en avait pas desoin, il ne fit que sortir se qu'il s'était mit dans la bouche, et la jetter par la fenêtre.

Un pétal.

L'auberge était de taille moyenne et plutôt confortable, en bas, l'odeur des pipes montaient mais se n'était pas un broblème puisque tout le monde fumait, dans ces endroits.
La discution joyeuse ou suspecte des clients lui rappelait l'attitude de certain de ses comperres, l'aillent fait sourire sous l'ombre qui s'étendait sur son visage.

Malko, qui avait été sur le point de fermer les yeux jusqu'au lendemain, n'eut pas le temps de finire se geste.
Une odeure particulière était venu chatouiller ses narines, le raidisent d'un coup.
Il respira longuement, prenant plaisir à sentir l'odeur venir flotter sur sa langue pour enfin mourire.

Réveiller par son instinc de prédateur, il suivit son nez qui le conduisit à la fenêtre, ses mains sur le rebord, il sentie le froid de la neige contre ses doigts mais ne réagie pas.
Scrutent les rues, ruelles et autres, il ne voyait rien, alors que dans un coup de vent, son nez lui indica les toits.

C'est alors qu'il vit une femme...
Une femme?

Il n'était pas sur, non pas que sa silouhette laissait flotter le doute, mais s'était l'odeur, qui lui, titillait son jugement.
Ses yeux gris restèrent gris, mais n'en était pas moin brillait dans la noirceure de la nuit.

"Peut importe... "
Il s'en allait pour retourner au première brume du sommeil, quand...

Kimiko l'avait observer pendant tout ce temps. Ce jeune homme...elle était intriguée...Encore cette foutu curiositée... Et puis si il lui arriverait quelque chose de mal tant mieux. Elle avait encore besoin de douleur, elle avait besoin de souffrir.
Après avoir remis d'un rapide geste son chemisier, elle ne prit pas la peine de le reboutonner et sauta sur le toit de l'auberge qui l'interessait. Elle ce laissa glisser jusqu'a celui ci et attachant son arme, qui était circulaire, à la gouttière, elle se laissa pendre par celle-ci. La tete à l'envers elle tomba pile sur la fenetre du jeune homme. De près, ses traits était si fin qu'on aurait pu la confondre avec une femme. Elle sourit alors de son habituel sourire et lacha un petit.

"Bonsoir..."

Elle l'observa en attendant sa réaction, elle esperait une réaction bizarre au quel elle meme ne s'y attendait pas.

Il resta calme... et figer quelques instants.
Les yeux un peu trop ouverts pour être normal.

Il fini tout de même pas dire d'un ton plus calme qu'il n'avait l'air.

"Bonsoir... "

Il se mordilla la lèvre, les sourcils froncer, avant de dire :

"Hum... j'ai l'honneur de parler à qui?"

Sa chambre et toute vaste, mais pas grande, disont, juste de la taille qu'il faut.
Il faisait chaud à l'interrieur, même que la neige sur le bord de la fenêtre fondait à peine...

Dehors, un vent froid passa juste derrière la jeune femme, mais aussi sur le visage du jeune homme...
Completement absorbé dans sa contemplation, il ne pensa pas à reculer une seconde, ses narines se dilatent légèrement.
Alors que ses yeux étaient visé dans ceux de la jeune femme.

Elle eu un petit sourire au coin. Effectivement elle ne c'était pas attendue a une réaction comme celle-ci. Elle lui répondit alors

"Kimiko, Kimiko Akasuna...et vous?"

La tete à l'envers ce n'était pas bien pratique, elle disparut alors s'étant relever. Elle avait vite fait de décrocher son arme circulaire et de redescendre aussi rapidement qu'elle était monté avec une habilité extrème. Elle se posa sur le rebord de la fenetre, tenant d'une main son arme. Puis elle finit par lui demander, le regardant dans les yeux, bien qu'elle savait qu'elle n'allait surement pas obtenir une réponse positive.

"Puis-je vous demander de m'accueillir ici pendant tout au plus une heure?"

Elle avait effectivement grand besoin de soigner ces blessures.

"Je ne vois pas vraiment d'objection..."

Il se recula alors, laissent la lumière de la nuit se faufiller entre la silouette de Kimiko pour faire des arabesques dans la chambre.

"Pour mon nom, appelez moi simplement Malko."

Il sourit, baissent la tête dans un signe d'étrange complicitée, alors qu'il allait mettre du bois dans la cheminée.
Une flambée apparut peu de temps après, rendant l'endroit plus chaleureux qu'il ne l'été déjà.

Ensuite, il partie s'assir sur son lit enlevent sa cape, finissent de dévoiller les parties visibles de son corps.

Il enleva aussi sa bourse, remplie de pièce d'or, un beau petit butin, en somme, pour un voleur... ou une voleuse.

"Vous vous promenez souvent, à moitier nue dans la nuit, l'hivers?"

Demanda-t-il d'un ton innocent.
Faisant le con une foit de plus.
Mais il y avait quand même se petit sourire qui indiquait qu'il plésentait.

Elle eu de nouveau un petit sourire au coin en emjambant la fenetre pour poser enfin ces pieds sur le sol de la chambre. Elle lui répondit alors sur un ton qui marquait sa plaisanterie.

"Oui, ca m'arrive souvent..."

Maintenant qu'elle y repensait, aujourd'hui était bien la première fois ou elle se fesait avoir sans meme combattre. Elle aurait peut-etre du faire quelque chose mais face à un Archange il ne fallait mieux pas...

Après avoir déposer son arme sur un mur elle se tourna vers lui. Elle lui sourit alors d'un petit air innocent.

"Donc...Ca ne vous genes pas si je soigne ma blessure ici?"

"Nullement... "

Il lui renvoya son sourire, mais pas innocent, comme celui de la jeune fille l'avait été.
Il leva un sourcil en la regardent un instant, toujours se sourire aux lèvres, avant de regarder l'armre.

Il aussa les épaules, tout le monde avait une arme en ces temps sombres...

"Si vous avez besoin de quelque chose... n'hésitez pas à demander."

Alors qu'il parlais, dans l'air, une odeur qu'on ne fleurait pas, mais qui rendait très calme, se propagea, douce et innocente.

Il se gratouilla le menton alors que, se tournent vers son lit, avant de se retourner, un pied encore dans les airs, pendant un petit moment.

"C'est frisquet, dehors, j'imagine, à moitier nue, non?"

Il fronça les sourcils, comme un imbécil heureux qui essayait de comprendre quelque chose sans y parvenir...
Mais en fait, ce n'était pas du tout se qu'il était, une chance, sinon il serait mort il y a de cela bien longtemps.

A sa deuxième proposition, elle se tourna vers lui avec un petit sourire, enlevant son chemisier.

"J'aurais besoin d'eau, d'un chiffon et du savon a vrai dire..."

Elle le regarda faire un sorte de demi-tour et haussa les épaules à sa question.

"Je dirais que ce n'est pas désagréable..."

Effectivement sentir le vent sur sa peau et ces doux flocons de neiges fondre au contact de sa peau était meme très très agréable pour elle. Elle baissa de nouveau la tete vers sa poitrine et soupira...Cette blessure était plutot grande voir énorme en fin de compte...Apparement grace a ses bandages bien serrer elle n'avait pas perdu énormément de sang...
Elle leva la tete pour le regarder de nouveau, il ne lui manquait plus que tout ce qu'elle lui avait demander...Elle esperait vraiment pouvoir en trouver...

"Je reviens tout de suite, m'mselle."

Il avait laisser son épée et sa bourse sur le lit, étrangement, il n'avait pas l'air de s'en avoir rendu compte, mais les tests étaient avaient tant de forme de nos jours...

Arriver en bas, il ne prit pas le temps d'aller voir la jeune femme au comptoir pour lui demander se que l'autre jeune femme qui cette foit si, était dans sa chambre, lui avait demander.

Il entra peu de temps après dans la salle de blanchissage... enfin... version moyennâgeuse...
Parce que là...

Enfin bref, endorment la méfiance des femmes qui si trouvaient, il se mit un pétal dans la bouche tout en allant chercher se que la jeune femme avait de besoin...

Vue sous cette angle, se démon était vraiment la honte de sa race...

(Dsl du retard)


Une fois le tout dans ses mains, il refit le chemin inverse.
Il prit au passage le temps de remplacer sa pétal.
Question de ne pas avoir à se faire questionner, il fallait toujours être prudent après tout, non?

Il fini par traverser tous les couleurs qu'il fallait.
Mais rendu devant sa porte de chambre, il fronça les sourcils quelques secondes, enlevent le pétal assècher de sa bouche, la faisait craquer entre ses mains.
Pour finalement, une foit rendu la chose en poussière, souffler dans l'air pour que le vide ne l'avalle...

Puis entra calmement dans la chambre...

(Pas rave ^^)

Elle se leva doucement quand elle le vit entrer, pour ensuite ce diriger vers lui. Elle fit un léger signe de la tete pour le remercier en lui prenant délicatement tout ce dont elle avait besoin de ces mains.

"Merci..."

Puis elle se décala pour aller se poser dans un coin de la chambre. Elle déchira d'un coup de sec ses bandages et se mit à observer un peu plus sa blessure. Elle était vraiment profonde...mais pas assez pour lui avoir toucher un point vital. Elle passa alors doucement le chiffon, à l'endroit de sa blessures, qu'elle avait soigneusement imprégnée d'eau juste avant. Puis elle passa du savon sur sa blessure ce qui eu pour effet de la bruler encore plus.

Malko se raidi légèrement, alors que ses yeux semblaient être à quelque pars d'autre.

Revenent lentement à lui, il prit l'épée sur son lit, sentant l'odeur que la jeune femme avait laisser sur l'arme, il ne passa aucun commentaire.
Mais sourit un peu.

Regardent le dos de la jeune femme, sont identité cliqua d'un coup.
Il aurait voulur dire quelque chose, mais ça ne sortie pas, alors il se ravisa.

Il savait se qu'il devait faire.

"Dsl, mademoiselle, je dois encore une fois partir."

Dit-il en se dirigeant une fois de plus vers la porte.

"Prenez la chambre sans gêne, ça se peut que je ne puisse revenir."

Il hocha la tête en sa direction en guise d'aurevoir.

Elle termina enfin et reposa le tout dans le bol qui contenait de l'eau auparavant. La jeune ange déchue refit doucement ses bandages et remit doucement son chemisier. Puis se tournant vers Malkotrame à ses paroles elle lui fit un rapide signe de la tete pour lui dire aurevoir. Elle se leva ensuite et le regarda, rajoutant une chose pour ces dernières paroles.

"Je vous remercie, mais je ne dois pas m'attarder ici..."

Elle se dirigea vers la fenetre et se hissa sur le rebord, reprenant son arme au passage. Elle la mit entre sa taille et son épaule et lui fit un dernier signe de tete avant de se tourner et de sauter de la fenetre pour partir encore là ou le vent la porterait.